Ouverture de stages aux amateurs, privatisations... l'artiste sénégalo-béninoise Germaine Acogny, de passage à Lyon, explore des pistes pour repenser le modèle économique de son établissement, toujours menacé de fermeture.

L’Ecole des sables, basée au sud de Dakar, se meurt faute de financements. C’est pour lancer l’alerte, tenter de l’amplifier jusqu’aux oreilles d’éventuels contributeurs que Germaine Acogny est venue en visite à Lyon, ce début de semaine. Pour se présenter, la chorégraphe sénégalo-béninoise (73 ans) figure historique de son art en Afrique, proche de Maurice Béjart, dit tout simplement : «Je suis Germaine Acogny, je danse.» Puis elle ajoute : «J’aime enseigner et échanger avec les autres.» ...

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