Près de quarante ans après la mort du maréchal Tito, les historiens se penchent sur un héritage de l’époque yougoslave en danger. Les « spomeniks », des mémoriaux antifascistes parfois considérés comme des chefs d’œuvre, sont en partie négligés par les autorités quand ils ne sont pas saccagés par des groupuscules ultranationalistes. Un sujet de Daphné Gastaldi avec les photos d’ Alberto Campi.
Crédit photo : RFI © Alberto Campi 2018