Une télé à Simferopol diffuse un discours de Vladimir Poutine, le 18 mars 2014 (REUTERS/Thomas Peter).

Une télé à Simferopol diffuse un discours de Vladimir Poutine, le 18 mars 2014 (REUTERS/Thomas Peter).

En Ukraine, Vladimir Poutine appelle depuis des mois à chasser les «fascistes» de Kiev. Un discours paradoxal, alors que le président russe soutient et attire dans son sillage la majorité des partis d’extrême droite en Europe.

 

Un ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, qui qualifie de «Révolution brune», le soulèvement populaire de Maïdan. Un ex-président ukrainien, Viktor Ianoukovitch, soutenu par le Kremlin, qui s’estime victime «d’un coup d’Etat proche de celui des nazis dans les années 30». Un président russe, Vladimir Poutine, qui déclare avec ironie, au lendemain de la constitution du nouveau gouvernement ukrainien.

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