Sans eux, Gérard Collomb n’aurait pas pu gagner la présidence du Grand Lyon et s’y maintenir jusqu’à son départ au gouvernement. Entre les élus de centre-droit de l’ouest lyonnais et le baron, c’est un mariage de raison et l’opportunité, pour les premiers, d’avancer leurs pions. Mais peut-être plus pour longtemps…

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