Déjà adopté par le Sénat, le texte renvoie à fin 2025 ce scrutin rendu extrêmement sensible par les émeutes survenues au printemps dans l’archipel du Pacifique.

Sceller l’urgence de prendre le temps. Débattue ce 6 novembre à l’Assemblée nationale, la proposition de loi organique sur le report des élections provinciales en Nouvelle-Calédonie devrait, sans surprise, permettre aux parlementaires de repousser le scrutin prévu d’ici au 15 décembre à une nouvelle échéance, celle du 30 novembre 2025. L’examen du texte, très largement adopté par le Sénat le 23 octobre puis approuvé par la commission des lois de l’Assemblée nationale la semaine suivante, requiert néanmoins une «infinie humilité» et une «gravité», ont averti le 30 octobre ses corapporteurs, Florent Boudié, député Ensemble pour la République (EPR, macro....

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