Il a été directeur de cabinet de Ronald Noble, le patron de l’organisation mondiale de police. À la suite de notre enquête sur “L’immoral financement d’Interpol”, Stanley Morris a accepté de nous rencontrer. De nous parler (longuement) d’abord, “on background”, comme disent les journalistes américains (i.e. sans jamais être nommé ni cité), puis de nous accorder un entretien qui serait publié.

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