Le procureur a requis la relaxe contre la présidente du Front qui comparaissait suite à sa comparaison des «prières de rue» à l’occupation allemande.

 

La présidente du FN l’avait annoncé avec délectation : elle ne comptait pas «rater une telle occasion» de brandir sa liberté d’expression. Marine Le Pen était donc bien là, ce mardi 20 octobre, au tribunal de grande instance de Lyon, jugée pour provocation à la haine raciale et religieuse, suite à des propos tenus dans la capitale rhodanienne en 2010… 

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