La société du salariat, fondée pour répondre au besoin de protection et de mutualisation du risque au sein de l’entreprise, vit une mutation fondamentale, qui a pour nom uberisation. Sa généralisation est-elle plausible ? Est-elle seulement souhaitable ? Comment normaliser le phénomène ? Cette nouvelle donne, tour à tour vantée et vilipendée, fait figure de nirvana ou d’épouvantail. Eclairage.

Aux Etats-Unis, alors que démocrates et républicains se lancent dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle, un enjeu, attendu, pèsera sur les débats : celui de l’uberisation
du marché de l’emploi et, plus avant, des modes de vie. Lire la suite dans le numéro d’octobre 2016 d’Acteurs de l’économie.