C’est l’histoire d’un “homme ordinaire qui se trouve devant une situation extraordinaire”.

 

En citoyen, James Dunne a eu un simple “cas de conscience”. Employé chez Qosmos, une société française de surveillance en affaire avec la Syrie de Bachar al-Assad, l’Irlandais n’a pu accepter l’insoutenable. Le Printemps arabe, la répression, la complicité de tortures. Dans son modeste appartement de la banlieue parisienne, l’homme nous a reçus longuement, en exclusivité, entre deux livres de philosophie et une guitare posée au mur. Il révèle ici être l’une des sources à l’origine de la plainte de la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), qui a provoqué l’ouverture en avril 2014 d’une information judiciaire du pôle Crimes contre l’humanité du parquet de Paris.

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